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Le changement s'impose, on le sait. Souvent
on s'attache trop au comment, sans être
bien au clair sur le pourquoi - qui pourtant
lui donnerait du sens. Et quand les réponses ne sont
pas concluantes, le changement n'a pas lieu - ou échappe
à tout contrôle... Lire
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Un peu partout, le changement est à
l'ordre du jour : pour réformer l'Etat et ses
pratiques, adapter l'entreprise, changer de stratégies,
d'organisation, de management, de production, voire de secteur
d'activité... Pas étonnant, en période
de mutation - c'est à dire de changement d'état
de la société - car il faut s'adapter ou périr,
c'est Darwin qui l'a dit. Problème : dans la mise
en uvre, on confond souvent changer et bouleverser.
Alors on scie la branche... et on se retrouve par terre
: finalement rien ne bouge, ou pas dans le bon sens. Car
c'est "un cran au-dessus" (dans l'analyse) qu'il
fallait concevoir vraiment un vrai changement - alors qu'au
contraire dans la mise en uvre, il faut en général
de la souplesse, de la progressivité, de l'ouverture,
de l'échange. Ce qui n'implique pas qu'on renonce
à aller vite : ne pas confondre rapidité avec
brutalité... Lire
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