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-> Mutation 2000...Un livre de Jean-Pierre Quentin, Le Hameau, Paris, 1982 (texte intégral)

De nos jours, Spartacus serait chef syndicaliste ;
Wellington, président de la Shell ;
Bonaparte, Commissaire général du Plan et
Charlemagne, président de la Commission de Bruxelles
Jean BOISSONNAT

Chap. 9 - REPENSER LE "POLITICO-INSTITUTIONNEL"


En fait, à part notre manie d'aborder le 3è millénaire avec nos références d'avant-hier, le grand problème est notre non-maîtrise des systèmes politico-institutionnels : tantôt les structures sont fossilisées, tantôt elles vivent leur vie - en tout cas, elles nous échappent au lieu de nous servir. Pour reprendre la main, il suffit de comprendre la logique de fonctionnement de la société en réseaux... [Voir résumé]


Cette boutade de J. Boissonnat montre de façon lapidaire à quel point les rôles, fonctions, valeurs, sont conditionnés par un contexte politico-institutionnel. Elle illustre aussi l'importance qu'ont progressivement pris les différents groupes ou institutions par rapport à l'action individuelle. Alors, quand on conclut que promouvoir une nouvelle forme de valeur ajoutée, économique et sociale, passe par une volonté politique, on doit voir également que si de nouveaux types de technologies peuvent en être des instruments privilégiés, cette volonté se heurte à d'importantes inerties d'origine institutionnelle. Celles-ci proviennent de l'incapacité des systèmes politiques à élaborer des objectifs cohérents ou à prendre en compte le long terme - incapacité qui caractérise ce que J. Lesourne qualifie de "déficiences de contrôle" aux niveaux national et international.

En effet, les questions qui se poseront au cours de l'actuelle période de transition, en particulier au cours du prochain quart de siècle, sont inséparables des défis socio-politiques auxquels seront confrontées les sociétés nationales : que l'on se réfère à la réduction des taux de natalité, aux migrations, au développement de la production agricole, à l'aide alimentaire, à l'accès aux ressources énergétiques ou minières, à la croissance de l'énergie nucléaire, à sa non-prolifération, à l'établissement du prix du pétrole ou des matières premières de base, on retrouve un monde "éclaté" ; et pour le comprendre, la comptabilisation des ressources et des besoins à l'échelle mondiale a une valeur limitée.

Donc, "le préalable des limites physiques n'offre aucun fil conducteur pour la lecture des avenirs, Il renvoie l'humanité à elle-même. Au "connais-toi toi-même". A la réalité des déficiences de contrôle.

A l'échelle internationale, où les gouvernements vont être simultanément engagés dans des jeux de concurrence et de coopération. Des jeux de concurrence sur l'énergie et les matières premières qui ne mèneront à aucun optimum quant à l'efficacité ou à la répartition. Des jeux de coopération pour la gestion du patrimoine commun de l'humanité - le climat, les océans - mais où le seul à ne pas observer la règle en tirera à court terme des avantages considérables.

A l'échelle nationale, où les systèmes politiques qui n'exercent qu'une régulation à court terme risquent d'être indifférents à la situation des prochaines décennies et de traiter l'incertitude comme des matamores ou comme des timorés.

Les relations avec l'écosphère ? Il faut les intégrer dans une vision politique et économique du monde. Et retrouver le souffle des grands historiens lorsqu'ils racontent la grandeur et la décadence des empires" (J. Lesourne, p. 50).

-> La multilatéralisation internationale
-> L'oligopolisation sociale
-> Une société en réseaux


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La multilatéralisation internationale

Ainsi, depuis plusieurs décennies et plus particulièrement à partir de la Seconde Guerre mondiale, le système international a possédé un régulateur tant économique que politique dont les composantes étaient principalement la liberté des échanges commerciaux, l'internationalisation des mouvements de capitaux, les transferts de technologie, une division internationale du travail favorisant la croissance de la productivité, un système monétaire assurant la stabilité des taux de change, le tout soutenu par un petit nombre d'organisasations internationales aux fonctions précises. Quant aux systèmes nationaux, ils ont bénéficié d'une unité d'objectifs et d'une adaptabilité structurelle héritée des bouleversements politiques, économiques et sociaux de la guerre en Europe ou au Japon, de la décolonisation dans le Tiers-Monde.

Mais, derrière sa stabilité, le monde bipolaire du deuxième après-guerre contient ses germes de changement : les grands pôles du Nord deviennent plus concurrents que complémentaires. Leurs atouts et leurs faiblesses se transforment. La diminution du poids relatif de l'économie américaine, les mouvements de taux de change, les embryons de zones monétaires distinctes, ainsi qu'une compétition accrue sur les marchés des pays en voie de développement témoignent d'une situation où les économies des pays développés, quoique fortement interdépendantes, sont sans doute devenues moins complémentaires que dans le passé.

Le Tiers-Monde prend conscience de son existence : pays producteurs de pétrole acquérant la capacité politique de constituer un cartel, pays en cours d'industrialisation voulant s'ouvrir les marchés des pays industrialisés ou pays pauvres qui revendiquent au nom de leur pauvreté. Tous demandent un Nouvel Ordre économique international, slogan à peu près vide de contenu économique, mais lourd d'une signification politique elle-même en évolution sensible depuis la formulation qui en avait été faite à Bandoeng.

Quant au visage des pays de l'Est, il est plus ambigu que jamais. Tandis que l'URSS dispose de considérables ressources naturelles et technologiques, elle n'arrive ni à produire de quoi nourrir sa population, ni à maîtriser certaines technologies modernes à usage civil. Elle développe donc son commerce avec l'Occident, tout en accumulant les fusées et les navires de guerre...

Ainsi se prépare le tournant vers un monde multipolaire. Vers un système international de plus en plus difficile à contrôler et dont les pôles seront le Tiers Monde, les Etats-Unis, l'URSS, le Japon et l'Europe.

Ce monde multipolaire s'apparentera à un oligopole où des acteurs de tailles diverses modifieront leurs environnements réciproques et constitueront les uns pour les autres des sources d'imprévisibilité. Cet oligopole n'aura rien de comparable avec celui qu'a connu l'Europe au XVIIIè siècle ou au lendemain du Traité de Vienne, quand seuls s'affrontaient quelques acteurs aux objectifs analogues et aux puissances équivalentes : il était assez facile d'analyser les coalitions et les buts qu'elles se proposaient. Dans l'avenir, au contraire, le large éventail des puissances nationales se combinera avec la variété des armes dont disposeront les acteurs et avec l'hétérogénéité des objectifs qu'ils viseront pour donner naissance à des situations particulièrement complexes.

Et c'est la déficience de contrôle au niveau de cette complexité qui fait peser sur l'humanité les plus grands risques. Ces risques ne s'éloigneront probablement que lorsque l'intégration politique aura donné le jour à une organisation hiérarchique du système mondial. Organisation de droit ou organisation de fait. "En attendant, il faut tenter d'apprendre à gérer l'interdépendance dans un monde multipolaire. En sachant que ne garderont leur autonomie que les communautés nationales suffisamment vigoureuses, mais que celles qui refuseront l'ouverture se condamneront au déclin. De leur cohésion et de leur capacité créatrice dépendront les chances qu'auront leurs gouvernements de pouvoir dégager une synthèse entre les pressions de l'extérieur et les demandes internes" (J. Lesourne, p. 211)


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L'oligopolisation sociale

Car à cette oligopolisation de la vie internationale correspond une oligopolisation de la vie sociale interne ("oligopolisation" étant pris au sens de "monopolisation à plusieurs", Etats dans un cas, institutions dans l'autre). Or, celle-ci altère les performances d'une société. Défavorable à l'efficacité et à l'adaptabilité, elle renforce la sécurité en se consacrant en priorité au maintien et à l'amélioration des avantages acquis ; ses effets sont ambigus en termes d'égalité, de liberté et de participation car elle peut aussi bien contribuer à la protection des privilèges qu'à la défense des groupes opprimés, à la libération des dominés qu'à la multiplication des règlements inutilement contraignants, à l'extension de la participation qu'à sa confiscation par les structures de représentation. Aussi n'est-il pas exagéré de dire que l'avenir des sociétés industrielles sera commandé dans une large mesure par l'évolution de leur oligopole social.

En réponse aux attentes des groupes sociaux de toutes natures, cet oligopole a prospéré à l'abri de la croissance, augmentant la sécurité et le "confort" de chacun... mais au prix d'une "ossification" des structures, voire des mentalités. Un environnement extérieur plus instable, une concurrence internationale plus sévère, une croissance ralentie, des valeurs et des demandes nouvelles vont de plus en plus le soumettre à rude épreuve. Alors "dans les pays développés, la prospective des institutions économiques restera inséparable de celle de l'oligopolisation sociale" (J. Lesourne, p. 243).

Cette "ossification" engendre un paradoxe qui éclaire sous une lumière particulièrement crue la difficulté des relations entre les personnes et les groupes : il paraît que nous entrons dans la "civilisation de la communication"... mais une déficience de contrôle majeure tient probablement à la mauvaise communication qui caractérise les relations entre les institutions et leurs "administrés". Parmi les multiples illustrations qu'on peut en trouver dans la vie courante, retenons l'exemple donné par A.G. Slama des rapports du malade avec l'institution médicale : "Le médecin va m'envoyer dans un laboratoire pour faire un certain nombre d'analyses ; il va trancher de mon cas en fonction de ces analyses. J'en éprouve un mécontentement évident parce que j'ai l'impression que je n'ai pas pu m'expliquer, que je n'ai pas pu lui dire que j'étais absolument allergique au bromure, etc. Face à cette difficulté de communiquer avec celui qui me commande, avec celui qui exerce sur moi le pouvoir, qu'est-ce que je demande ? Est-ce du pouvoir que je demande ? Pas du tout ; ce que je demande, c'est de la concertation ; c'est de pouvoir m'expliquer ; c'est du dialogue, ce n'est pas autre chose" (cf. L. Sfez, p. 339).

Plus généralement, ce phénomène se retrouve au niveau des relations du citoyen avec les institutions politiques... et les citoyens y ont leur part de responsabilité, car ils veulent l'impossible simple alors que la réalité offre des possibles complexes. En effet, la plupart des problèmes impliquent des raisonnements "à la marge" : le choix n'est généralement pas entre des absolus, liberté ou servitude, justice ou injustice, efficacité ou désordre. Il est entre un peu plus ou un peu moins de liberté, de justice ou d'efficacité. De plus, le choix n'est jamais gratuit. "Si nous voulons une société plus tournée vers les responsabilités individuelles, nous le paierons d'un peu plus de désordre. Si nous voulons éviter ce désordre marginal supplémentaire, nous devrons introduire une contrainte additionnelle. Il y aura de toute manière contrepartie. Elle sera voulue ou subie, consciente ou inaperçue. Mais elle sera" (J. Sérisé, p. 293). S'ajoute à cela que, contrairement à une époque où l'amélioration du sort des uns était payée par d'autres, "tout changement est maintenant à payer par nous-mêmes (...) C'est vrai, en tout cas, pour le groupe des salariés pris dans son ensemble - tout simplement parce qu'il forme, et de très loin, la catégorie la plus nombreuse de la nation. Un avantage donné aux salariés sera payé, pour l'essentiel, par les salariés eux-mêmes. Enfin, nous devons avoir le courage d'aller jusqu'au bout de notre raisonnement, même et surtout s'il s'accompagne d'à-côtés déplaisants. Par exemple, si nous voulons une société plus juste : il nous faut aussi vouloir la productivité et les moyens de l'obtenir. Nous voulons une plus grande participation des travailleurs, des consommateurs, des citoyens : il nous faut une société de concurrence (...) Le discours politique, simple, absolu, qui ne fait jamais mention des contreparties, qui n'indique jamais qui paiera, qui ne va jamais jusqu'au bout, devra donc être revu. Il y faudra du temps. Ni les élus ni les citoyens ne sont prêts à tenir ou à entendre ce nouveau langage".


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Une société en réseaux

Les technologies combinatoires [chap. 7] n'ont jusqu'à présent donné qu'une faible partie de leur potentiel : passage de processus linéaires avec l'ordinateur à des processus plus complexes avec le logiciel, en se dirigeant vers ce qu'on appelle l'intelligence artificielle ; de même, dans les biotechnologies (de la fermentation au génie génétique) ou les nouveaux matériaux (pour résoudre un problème, on ne part plus de la composition des matériaux disponibles, mais d'une synthèse des propriétés requises) - ces phénomènes devant encore être accrus et accélérés avec les combinaisons entre technologies. De telles combinaisons ne caractérisent pas seulement les nouvelles technologies, mais plus généralement la société vers laquelle nous évoluons, qui semble devoir être une "société en réseaux", horizontalisée, contrairement à celle que nous quittons, "verticalisée", avec, comme on l'a vu, ses institutions, ses technologies, ses concepts, spécialisés et cloisonnés.

Cette horizontalisation se manifeste par exemple dans les mentalités et les rapports sociaux. Elle correspond à ce qu'A. Toffler appelle "une culture éclatée". Ainsi, la spécialisation des messages transmis par les media se traduit par un "éclatement" de l'information - appelant une autre approche, sous forme de "réseaux", pour rétablir la cohérence. "Au lieu de recevoir de longues "chaînes" d'idées cohérentes, organisées ou synthétisées à notre intention, nous sommes de plus en plus harcelés par des bribes d'informations concises et modulaires - publicités, ordres, théories, tronçons de nouvelles, toute une mosaïque faite de bric et de brac qui ne trouve pas place dans nos fichiers mentaux préétablis. La nouvelle imagerie résiste à la classification, en partie parce qu'elle ne se laisse pas enfermer dans nos vieilles catégories conceptuelles, mais aussi parce que les voies qu'elle emprunte pour nous parvenir sont par trop insolites, éphémères et chaotiques" (p. 210).
-> Glob : pour voir large sans tout mélanger...
Au contraire, ceux que Toffler appelle les gens de la Troisième Vague sont plus à l'aise sous ce bombardement : "Ils engouffrent par petites doses des quantités énormes d'information. Mais ils ont aussi l'esprit ouvert aux notions et aux métaphores nouvelles rassemblant ces données ponctuelles ou les organisant en de plus vastes ensembles. Plutôt que d'essayer de les faire entrer sous les rubriques ou dans les cadres standards de la Seconde Vague, ils apprennent à fabriquer leurs propres cadres, leurs propres "chaînes" d'idées à partir du matériel disloqué dont les abreuvent les nouveaux media. Au lieu de recevoir passivement notre modèle mental de la réalité, nous sommes à présent contraints de l'inventer et de le réinventer constamment. C'est là un accablant fardeau qui nous échoit mais, d'un autre côté, cela conduit à un plus grand développement de l'individualité, à une démassification de la personnalité aussi bien que de la culture".

Ce besoin de relier entre eux des éléments épars et désordonnés ne se trouve pas seulement à ce niveau de l'individu. Il apparaît également au niveau de la société et prend spontanément des formes aussi diverses que le "citizen band" ou les "radios libres", pour rester dans le domaine de la communication. Dans d'autres domaines, on pourrait penser aux "énergies libres" ou aux "mouvements alternatifs", autres formes d'horizontalisation spontanée des rapports sociaux. Toute la question est de savoir, par rapport à une telle évolution culturelle, comment évoluera le système politico-institutionnel. Car l'enjeu est important : où se situera-t-on par rapport aux écueils qui en résultent, de la récupération marchande à la récupération idéologique... en passant par la "non-récupération" anarchique ?

En effet, il ne faudrait pas que la dénonciation de l'excès d'interventionnisme débouche sur un remède pire que le mal. Or, selon A. de Vulpian, "l'idée se répand qu'il faut interférer avec les processus et les systèmes plutôt que légiférer, réglementer ou punir. La prétention à tout connaître et à tout gouverner du point de vue supérieur de l'Etat, la prétention à prévoir le sens de l'Histoire, paraissent de plus en plus "étranges" à une proportion croissante de nos concitoyens. L'idée pointe que, pour que survive une espèce, il faut laisser se battre ses constituants, individus ou organisations". ("Français, qui êtes-vous ?", p. 307). Si cette idée devait être poussée au bout de sa logique, il serait difficile de considérer un retour à la "loi de la jungle" comme un progrès de la civilisation...

Là encore, la technologie joue un rôle important : elle a contribué à ce morcellement qui appelle des réseaux ; elle fournit des instruments pour aider à la constitution et à l'utilisation de ces réseaux. Elle intervient en effet non seulement au plan matériel (avec en premier lieu les nouvelles technologies de l'information), mais aussi au plan conceptuel (il s'agit de "combiner" des éléments, comme dans le maniement des technologies combinatoires). Le domaine de la communication fournit un exemple évident avec les apports successifs et complémentaires de la télévision et de l'ordinateur. "La première génération des enfants de la télévision ne sait plus écrire, ne sait plus composer un texte, multiplie les fautes d'orthographe. C'est que les moins de trente ans lisent aujourd'hui comme ils regardent la télévision, accommodent non plus sur le mot mais sur un point de l'espace situé à quelques centimètres en avant de la page. Ils perçoivent ainsi certains mots, avec lesquels ils reconstituent des phrases et des paragraphes qu'ils relient mal entre eux : ils ne savent plus structurer le temps ni l'espace (...) L'ordinateur, qui contraint à une formidable rigueur intellectuelle, corrigera les défauts de la télévision, réintroduira un système de référence dans le temps et l'espace intégrés, mettra en interaction les deux hémisphères du cerveau, créant ainsi une nouvelle forme d'intelligence, plus complète" (D. Garric, p. 401-402). Combien de parents ayant déploré la déstructuration mentale qu'implique la télévision ont-ils réalisé que l'ordinateur, inversement, aurait un très fort pouvoir structurant, par la logique qu'il impose ? Et cette télévision qui, un temps, a pu apparaître comme un fléau, ne devient-elle pas un facteur de rééquilibrage : la nécessaire dimension du rêve, stimulant l'imagination et la créativité face à une logique trop rationnelle ?
->  Morale, éthique, déontologie... de quoi parle-t-on ?
Alors le temps est sans doute venu de s'affranchir du débat anachronique entre "têtes bien faites" et "têtes bien pleines", inspiré par l'un des textes les plus dépassés de Montaigne, écrit, avant l'essor de la pensée scientifique. S'en affranchir pour "faire à nouveau de l'éthique l'épine dorsale de notre éducation. Il ne s'agit pas de ressusciter les tabous sexuels et les pères fouettards du XIXè siècle dépassé, mais d'avoir le courage d'élaborer et de diffuser une ou plusieurs morales de l'action qui tiennent compte à la fois des nouveaux horizons extérieurs et des aspirations qui germent au sein de nos sociétés" (J. Lesourne, p. 360). Avant de préciser dans la IIIè partie ce qu'implique une telle conclusion, il est temps de qualifier notre mutation...



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